Drôle de question à première vue. Peut-on pratiquer la vision à distance n’importe où, en toutes circonstances ? Faut-il obligatoirement être chez soi, dans un environnement calme, confortable ? Peut-on simplement réaliser une séance de vision à distance n’importe où ?
Notre constat
Dans notre livre, nous détaillons l’environnement idéal pour pratiquer une séance : dans une pièce calme, sans distraction, à un moment de la journée où vous ne serez pas dérangé(e), etc. Mais est-ce vraiment nécessaire ? Certes, cela tombe sous le bon sens, mais la séance serait-elle moins bonne si elle était faite ailleurs ou autrement ?
Au cours de ma vie professionnelle, je me déplace régulièrement en France, en Europe ou dans le monde. Un terrain de jeu idéal pour tester cette théorie.
Les voyages forment la jeunesse
La première expérience de vision à distance – justement à distance de chez moi – fut en Allemagne. Je réalisais dans ma chambre d’hôtel une expérience lancée par l’iRiS (https://www.iris-ic.com/) consistant à décrire un objet, via une séance guidée. Exercice intéressant qui m’a forcé à suivre un autre protocole – peu éloigné du notre – m’autorisant à exploiter mon déplacement professionnel.
La cible était révélée la semaine suivante et chaque étudiant pouvait confronter ses résultats. Pour cette expérience, l’objet en question était la machine d’Anticythère.
Cette séance fut un succès et c’est ainsi que je continuai ma pratique de voyage.
De plus en plus loin
Les séances s’enchaînèrent avec également nos propres jeux de tests disponibles sur notre site. Dans toute l’Europe mais aussi en Asie (en Inde pour être précis). Nous y avons même réalisé des séances à deux en différé. Sans surprise, l’exercice était toujours concluant.
Cela nous a apporté quelques éléments de réflexion : le lieu importe peu, c’est l’état d’esprit dans lequel on se trouve qui joue le plus. Il ne me manquait plus qu’un dernier test : en avion.
Toujours plus haut
Le retour en avion de mon périple indien fut long. J’ai eu largement le temps de pratiquer. Notre but était de savoir si l’altitude ou le déplacement pouvaient changer quelque chose à nos séances.
À vrai dire, je n’ai pas ressenti de grands changements. L’environnement bruyant et le ronflement des moteurs étaient plutôt reposant et aidaient à la concentration. Tel un bruit blanc, je pouvais me concentrer davantage, sans perturbation ou bruit soudain. La monotonie sonore était bénéfique.
C’est d’ailleurs cette expérience qui nous inspira d’utiliser un générateur de bruit blanc pour nous aider à nous concentrer. Vous pouvez le retrouver dans cet article.
En conclusion
Ne vous inquiétez pas si votre bureau ou votre salon n’est pas aussi propice à une séance comme décrit dans de nombreux livres. Faites tout d’abord l’essai et voyez comment améliorer votre cadre de travail.
Souvent, il suffit de pratiquer à une heure où vous êtes seul(e), reposé(e) et en forme. Faites-vous confiance en premier et pratiquez.
