Notre démarche
Les Projets Scientifiques Intuitifs (PSI) sont un regroupement de parapsychologues et de radiesthésistes amateurs. Ce groupement a pour vocation la mise en avant au grand public des phénomènes vibratoires via des publications. Notre démarche consiste à enrichir les connaissances existantes par une séries de protocoles scientifiques reproductibles et soumis strictement aux études actuelles validées par les sciences dites conventionnelles.
Indépendants, nous apportons notre soutien logistique à la rédaction d’ouvrages ainsi qu’à leur édition et vente.
Quelques mots à propos de nous et de notre démarche. Nous sommes issus du domaine scientifique et rationnel. Après de longues études dans les sciences, l’électronique et l’informatique, nous avons continué notre apprentissage sur le chemin classique du monde ingénieur.
Depuis toujours, nous eûmes la certitude que le monde était bien plus complexe que ce que les apparences laissaient croire. Les formules physiques semblent toujours incomplètes quand le scientifique tente de résumer un phénomène. Nous ouvrîmes notre champ de vision vers des routes plus alternatives.
À force de lectures, nous fîmes des liaisons avec notre savoir scolaire. Les anciens textes grecs ou médiévaux parlant d’alchimie résonnèrent étrangement avec ceux décrivant les exploits de sourciers dans le Sud de la France. Dans d’autres domaines admis de tous, comme la paléontologie, il est courant d’analyser les peintures rupestres. Leur sens fût à nouveau commun à toutes ces lectures. Était-ce un hasard ? Si une activité ou une croyance perdure pendant des millénaires et ce depuis que l’Homme est sorti des cavernes, peut-on parler de simple coïncidences ? Peut-on parler de sottises ?
Généralement, la plupart des personnes balaie d’un revers de la main toute idée ou superstition qui peut paraître stupide. Alors pourquoi de tels mythes, de tels activités ont-elles pu continuer d’exister à travers les siècles, les civilisations, les cultures ?L’idée fût bien trop belle pour la balayer justement.
En commençant quelques expériences, tirées d’anciens textes et de modernes, nous nous rendîmes vite compte que nous les réussissions. L’ingénieur l’emportant toujours, nous avons confronté nos résultats aux statistiques, aux probabilités.
Pouvions-nous atteindre le même résultat par hasard ? La réponse est non : notre probabilité de réussite était largement supérieure que celle du hasard. Notre intérêt se pencha d’abord du côté de la géobiologie : comment améliorer notre habitat. Très vite, des idées de sourcellerie ou de magnétisme vinrent à nous. Quelques stages, des rencontres et beaucoup de lectures nous orientèrent vers le travail à distance : magnétisme, guérison et vision.
Nous proposons des études adaptées à vos besoins, à partir de cartes muettes ou de coordonnées géographiques. Tous les résultats sont vérifiables avec des moyens communs (boussole, carte IGN, etc.). Nous tenons à conserver un pied dans la science dite « dure » pour prouver nos hypothèses de travail.
De nos jours, nous commençons simplement à appréhender de nouvelles sciences dites « alternatives » qui trouvent leurs origines dans les anciennes croyances ou pratiques (comme la recherche de rivières souterraines pour les sourciers ou encore le magnétisme pour les guérisseurs). Face à ce regain d’intérêt, nous mettons en place des protocoles scientifiques pour définir des méthodes simples et reproductibles afin de tenter de confirmer ou non ces phénomènes. Notre intérêt se porte essentiellement sur ces échanges à distance. Nous étudions ainsi 3 phénomènes que nous pensons d’origine commune :
- la vision à distance (recherche sur carte, description d’un lieu inconnu),
- le magnétisme (diagnostic et soin à distance),
- le retrobiofeedback (action à distance et différée dans le temps).
Nous regroupons tous ces termes sous le même nom de bioréaction à distance.
Bref résumé de nos travaux
La vision à distance
La vision à distance (ou remote viewing) est la capacité à percevoir le relief, les détails et la disposition d’un lieu à partir d’informations géographiques.
Pour effectuer nos recherches, nous travaillons à partir d’une page blanche. L’unique information donnée est le couple de coordonnées géographiques (par exemple : 48°35’50″N, 6°41’12″E).
Nous avons mis au point un protocole expérimental définissant la mise en place d’une recherche, son objectif et ses moyens de contrôles. Une partie de nos résultats sont consultables sur ce site. Les reliefs, axes routiers, habitations, cours d’eau sont identifiés. Le niveau de détails est de l’ordre de la dizaine de mètres.
Bioréaction à distance
Le phénomène de magnétisme est bien connu du public via les guérisseurs et les magnétiseurs. Leur action peut s’effectuer aussi bien face à la personne recevant un soin qu’à distance par téléphone. De nombreux hôpitaux font appel à ces praticiens.
De notre point de vue, travailler sur un lieu ou un être vivant relève de la même sensibilité. Nous avons établi un protocole de travail sur le phénomène de bioréaction (terme générique sous lequel nous rassemblons tous ces sujets) pour mettre au point et vérifier scientifiquement (c’est-à-dire factuellement) nos expériences.
Ainsi, nous avons pu établir de courtes listes d’endroits ou d’organes sensibles pour chaque personne étudiée. Le tout à distance et vérifié ensuite.
Bioréaction différée et à distance
Partant du principe que l’espace n’est pas un frein à la captation d’informations, que ce soit par vision ou par bioréaction, quant est-il du temps?
Reprenant cette citation d’Einstein : « L’espace et le temps sont les modes par lesquels nous pensons et non les conditions dans lesquels nous vivons.« , nous avons tenté avec succès des expériences de bioréactions différées (ou retrobiofeedback).
Le principe est simple : une personne A tente de percevoir si un soin à distance lui est donné. Elle note la date et l’heure auxquelles les sensations sont perçues. Une autre personne, B, lui prodigue ensuite le soin, sans avoir connaissance des sensations ni de l’endroit à soigner. L’unique information est la date et heure données par A. Nos résultats montrèrent que le soin effectué correspond aux endroits ressentis par la personne A.